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Première édition
14 x 19,5 cm
Couverture rigide
112 pages
60 images
Direction éditoriale : Caroline de greef
Graphisme : EYD
Mai 2022
ISBN 978-2-490740-06-2
LES VAGUES
Élise Toïdé
Préface d’Ange Leccia
Elise Toïdé, photographe française, compose au cours de ses voyages lointains et locaux une partition personnelle selon une panoplie lumineuse et picturale de fragments narratifs Ses images prises au 35 mm, sont avant tout un art de l’observation - une expression artistique lui permettant de fusionner son vécu quotidien et son expérience esthétique personnelle en donnant corps à l’idée du temps qui passe et de la perte mais aussi à ce qui persiste malgré tout.
Pour son deuxième livre Les vagues, elle réussit à capter les absences, les jeux, l’ennui de ces âmes pour qui tout reste encore ouvert. Sans fiction, avec son langage visuel brut elle cristallise le souvenir d’un été en équilibre fragile entre les vestiges de l’enfance et les promesses de l’âge adulte.
Edition spéciale
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Cette édition limitée est composée du livre "Les vagues" ainsi que d'un tirage signé et numéroté par Elise Toïdé.
Tirage : 13 × 18,5 cm
Baryta Hahnemühle 315g
Edition de 50.
Bio
Le travail d’Elise Toïdé traite de la fuite du temps avec lyrisme, mélancolie et sensibilité. Ses portraits à la fois émouvants et bucoliques, unanimes et personnels, décèlent en eux un secret, comme un outil permettant au spectateur d’y déchiffrer ses propres émotions ou d’y déceler le début d’histoires. Des histoires intimes toutes aussi familières que singulières, toujours au regard du féminin qui les raconte.
Ce corpus infini d’œuvres photographiques tantôt fragile et mélancolique, tantôt romantique, mais jamais saisissable, tout comme la mémoire elle-même, vient raconter ses déplacements dans le temps et dans l’espace. Les images laissent une liberté de lecture presque illimitée comme des fragments narratifs compacts et nus qui peuvent être déplacés, empilés, substitués les uns aux autres. Ici, ce qui fait l’histoire, c’est justement ce qui n’est pas dans l’image, ce que le spectateur va y ajouter, imaginer, retenir.
Expositions
2022
Coco. Marjorie Gosset, Anne Loubet, Elise Toïdé. Paris.
2019
Eyd Paris. Il fera longtemps clair ce soir. Paris.
2016
Haute à Porter. Hasselt.
2014
Wanderlust. Manifesto. Paris.
2012
Face Up. David Armstrong, Elise Toïdé, Romina Shama. Majestic Hôtel, Cannes.
Le travail d’Elise Toïdé traite de la fuite du temps avec lyrisme, mélancolie et sensibilité. Ses portraits à la fois émouvants et bucoliques, unanimes et personnels, décèlent en eux un secret, comme un outil permettant au spectateur d’y déchiffrer ses propres émotions ou d’y déceler le début d’histoires. Des histoires intimes toutes aussi familières que singulières, toujours au regard du féminin qui les raconte.
Ce corpus infini d’œuvres photographiques tantôt fragile et mélancolique, tantôt romantique, mais jamais saisissable, tout comme la mémoire elle-même, vient raconter ses déplacements dans le temps et dans l’espace. Les images laissent une liberté de lecture presque illimitée comme des fragments narratifs compacts et nus qui peuvent être déplacés, empilés, substitués les uns aux autres. Ici, ce qui fait l’histoire, c’est justement ce qui n’est pas dans l’image, ce que le spectateur va y ajouter, imaginer, retenir.
Expositions
2022
Coco. Marjorie Gosset, Anne Loubet, Elise Toïdé. Paris.
2019
Eyd Paris. Il fera longtemps clair ce soir. Paris.
2016
Haute à Porter. Hasselt.
2014
Wanderlust. Manifesto. Paris.
2012
Face Up. David Armstrong, Elise Toïdé, Romina Shama. Majestic Hôtel, Cannes.
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